Пионеры, идите в жопу
нашла случайно в черновиках почты, перечитала. да и не так уж плохо, я думаю. пусть будет тут на память о моей бессмысленной ниццевской деятельности)
мне нравится торчащее непереведенное слово ахаха) надеюсь, так и сдала хР
Ma ptite nouvelle Il est presque 16 heures - l'heure habituelle journalier d'examen clinique des malades dans la clinique psychiatrique de Saint Martin. Docteur Lacteur est presque fini de remplir ses documents de check-up de ce matin. Le travail vraiment embêtant et excédentaire à faire pour un docteur à son avis, mais le travail qu'il fasse strictement chaque jour de 15 à 16. "Pourquoi ne pas le donner à faire à Madeleine?" - pense t-il. "Elle a trop de temps librependant l'heure de travail, cette fille. Je l'ai vu même parler au téléphone quelques fois, faut bien parler avec Pouffary de lui charger plus de travail."
Les pensées de ce genre coulaient dans sa tête pendant qu'il finissait de remplir les papiers sur les malades.
"Lambert Jean, la salle #6 - pas de changement de l'état. Continue de renoncer à parler proprement. Les maux de tête ne finissent pas. Essayer le nouveau médicament dès le lundi prochain."
Tropeau - le comportement encore plus agressif est constaté.."
Il a arrêté d'écrire et fixé son regard sur le mur: "Madeleine m'a dissuadé de lui insérer l'anxiolytique, mais là maintenant je comprends qu'il me ne reste aucun autre choix. Il devient être difficile à contrôler. Demain faut que j'essaie une dose minimale de "Tricyclique".
Il a continué de remplir les papiers pendant encore quelques minutes et à 16:04 on a frappé dans la porte. "Entrez, Madeleine. Vous êtes encore en retard, je vous attends..Bon, merci quand même de ne pas déborder sans frapper à la porte comme vous aimez à faire habituellement" - a dit il avec certain sarcasme dans la voix. "Je vous demande pardon, monsieur Lacteur, j'ai du aider à docteur Fragile..."
"Ah, ce Fragile.." - pansa Lacteur. "Incompétent, rude avec ses collègues, pense d'être le principal dans l'hôpital.. comment il m'irrite."
"Je comprends, Madeleine. Aide moi à monter debout, j'ai encore ces douleurs dans ma jambe..Tu m'entends? Arrête d'écrire et viens ici, hélas! "
Après lui aider à monter, Lambert a pris ses papiers, remis son tablier et ils ont parti pour faire le tour quotidien de 16 heures. Ils ont entré dans la salle numéro 23, salle de S. Hubert, malade avec la diagnose du "désordre mentale". Un malade calme, discret, mais qui se pense d'être un docteur et qui renonce d'être perçu autrement que ça. Un phénomène récent parmi les malades psychiques, et on sait bien entre les docteurs qu'il n'y a aucun sens d'essayer les rassurer. En plus que cela peut entraîner les aggravations. Donc, le seul chose qu'on peut faire - c'est de jouer chacun son rôle..Ce que docteur Lacteur fasse chaque jour quand il rentre dans cette chambre de numéro 23 - il devient un patient à la consultation du docteur. Au tout début d'admission de monsieur Hubert à la clinique ils ont fait un негласный accord - Lacteur lui trait comme un docteur, en chiquant d'être un malade, mais tant qu'il doit faire son travail et veiller l'état de santé de m.Hubert, Hubert lui "autorise" de lui poser les questions sur son état de santé et lui faire une inspection chaque jour.
"Bonjour, docteur Hubert. Êtes vous en bonne santé aujourd'hui?" - dit il, entrant dans la chambre. Il trouve Hubert être assis en train de remplir quelques documents. Le travail qu'il pense d'être très grave et qu'il fasse chaque jour.
Hubert arrêt d'écrire, monte ses eux sur le visage de Lacteur et sourit. "Bonjour, Lacteur"- dit il. "Asseyez vous, je vous en prie. Comment vous vous sentez ce jour là? Quelques complaintes?"
- "Pas vraiment,"- dit Lacteur essayant sur la chaise devant Hubert. "J'ai eu mal dans ma jambe ce matin, mais ça va partir, je le sens. Et vous? Vous dormiez bien aujourd'hui? "
- "Oui, pas de cauchemars, heureusement. Je me suis réveillé très tôt le matin et j'arrivais plus de m'endormir pourtant. "
Lacteur inspectait tous ses mots dans le fichier du nom "S. Hubert, désordre mentale du genre CH". Madeleine faisait la même chose étant debout derrière son dos. Hubert était assis devant lui, avec une sourire légère sur son visage et les mains posés ensembles sur la table. On dira jamais qu'il a une dissociation mentale si on lui voit dans la rue. Lacteur réfléchissait souvent sur ce phénomène étrange de l'homme - on sait jamais si la personne est mentalement normale ou pas. Il travaille plus de 20 ans dans cette clinique, mais il n'arriverait jamais de deviner cette mystère de la différence entre ceux qu'on nomme les "normales" et les "foux". Est-ce que la différence existe vraiment? Cette question lui tenait toute ça vie et même influencé son choix de métier.
Après le check-list et que chacun d'eux a écouté la respiration de l'autre et mesuré la compliance ils ont souhaité l'un à l'autre une bonne fin de la journée et en sortant de la salle docteur Lacteur réfléchissait au fait que ce pauvre Hubert lui plaisait beaucoup et que c'était injuste que tels bons gens sont obligés de vivre dans les établissement de ce genre là, sans aucune possibilité d'être libre alors qu'il y a plein des ceux qui sont requis d'être isolés de la société..Mais c'est la vie..Et l'objectif de lui est de faire le maximum possible pour faciliter la vie de ces malades. Il aimait autant son travail qu'il ne trouvait point étrange de même de se coucher dans la clinique, dans la même salle ou il acceptait les patients. Il était très rarement chez soi..Vrai dire il n'y été jamais depuis qu'il a commencé de travailler à l'hôpital. De fois ses enfants, déjà les adultes qui ont eu ses familles et ses propres vies, venaient lui voir au travail. Et que la fidèle Madeleine venait lui voir chaque soir à 21:15 pour de temps en temps lui donner les médicaments contre les douleurs ou pour mieux dormir. Mais on ne le lui épargne pas. Il se sentait heureux puisqu'il avait ces pauvre qui ont eu besoin de lui.
мне нравится торчащее непереведенное слово ахаха) надеюсь, так и сдала хР
Ma ptite nouvelle Il est presque 16 heures - l'heure habituelle journalier d'examen clinique des malades dans la clinique psychiatrique de Saint Martin. Docteur Lacteur est presque fini de remplir ses documents de check-up de ce matin. Le travail vraiment embêtant et excédentaire à faire pour un docteur à son avis, mais le travail qu'il fasse strictement chaque jour de 15 à 16. "Pourquoi ne pas le donner à faire à Madeleine?" - pense t-il. "Elle a trop de temps librependant l'heure de travail, cette fille. Je l'ai vu même parler au téléphone quelques fois, faut bien parler avec Pouffary de lui charger plus de travail."
Les pensées de ce genre coulaient dans sa tête pendant qu'il finissait de remplir les papiers sur les malades.
"Lambert Jean, la salle #6 - pas de changement de l'état. Continue de renoncer à parler proprement. Les maux de tête ne finissent pas. Essayer le nouveau médicament dès le lundi prochain."
Tropeau - le comportement encore plus agressif est constaté.."
Il a arrêté d'écrire et fixé son regard sur le mur: "Madeleine m'a dissuadé de lui insérer l'anxiolytique, mais là maintenant je comprends qu'il me ne reste aucun autre choix. Il devient être difficile à contrôler. Demain faut que j'essaie une dose minimale de "Tricyclique".
Il a continué de remplir les papiers pendant encore quelques minutes et à 16:04 on a frappé dans la porte. "Entrez, Madeleine. Vous êtes encore en retard, je vous attends..Bon, merci quand même de ne pas déborder sans frapper à la porte comme vous aimez à faire habituellement" - a dit il avec certain sarcasme dans la voix. "Je vous demande pardon, monsieur Lacteur, j'ai du aider à docteur Fragile..."
"Ah, ce Fragile.." - pansa Lacteur. "Incompétent, rude avec ses collègues, pense d'être le principal dans l'hôpital.. comment il m'irrite."
"Je comprends, Madeleine. Aide moi à monter debout, j'ai encore ces douleurs dans ma jambe..Tu m'entends? Arrête d'écrire et viens ici, hélas! "
Après lui aider à monter, Lambert a pris ses papiers, remis son tablier et ils ont parti pour faire le tour quotidien de 16 heures. Ils ont entré dans la salle numéro 23, salle de S. Hubert, malade avec la diagnose du "désordre mentale". Un malade calme, discret, mais qui se pense d'être un docteur et qui renonce d'être perçu autrement que ça. Un phénomène récent parmi les malades psychiques, et on sait bien entre les docteurs qu'il n'y a aucun sens d'essayer les rassurer. En plus que cela peut entraîner les aggravations. Donc, le seul chose qu'on peut faire - c'est de jouer chacun son rôle..Ce que docteur Lacteur fasse chaque jour quand il rentre dans cette chambre de numéro 23 - il devient un patient à la consultation du docteur. Au tout début d'admission de monsieur Hubert à la clinique ils ont fait un негласный accord - Lacteur lui trait comme un docteur, en chiquant d'être un malade, mais tant qu'il doit faire son travail et veiller l'état de santé de m.Hubert, Hubert lui "autorise" de lui poser les questions sur son état de santé et lui faire une inspection chaque jour.
"Bonjour, docteur Hubert. Êtes vous en bonne santé aujourd'hui?" - dit il, entrant dans la chambre. Il trouve Hubert être assis en train de remplir quelques documents. Le travail qu'il pense d'être très grave et qu'il fasse chaque jour.
Hubert arrêt d'écrire, monte ses eux sur le visage de Lacteur et sourit. "Bonjour, Lacteur"- dit il. "Asseyez vous, je vous en prie. Comment vous vous sentez ce jour là? Quelques complaintes?"
- "Pas vraiment,"- dit Lacteur essayant sur la chaise devant Hubert. "J'ai eu mal dans ma jambe ce matin, mais ça va partir, je le sens. Et vous? Vous dormiez bien aujourd'hui? "
- "Oui, pas de cauchemars, heureusement. Je me suis réveillé très tôt le matin et j'arrivais plus de m'endormir pourtant. "
Lacteur inspectait tous ses mots dans le fichier du nom "S. Hubert, désordre mentale du genre CH". Madeleine faisait la même chose étant debout derrière son dos. Hubert était assis devant lui, avec une sourire légère sur son visage et les mains posés ensembles sur la table. On dira jamais qu'il a une dissociation mentale si on lui voit dans la rue. Lacteur réfléchissait souvent sur ce phénomène étrange de l'homme - on sait jamais si la personne est mentalement normale ou pas. Il travaille plus de 20 ans dans cette clinique, mais il n'arriverait jamais de deviner cette mystère de la différence entre ceux qu'on nomme les "normales" et les "foux". Est-ce que la différence existe vraiment? Cette question lui tenait toute ça vie et même influencé son choix de métier.
Après le check-list et que chacun d'eux a écouté la respiration de l'autre et mesuré la compliance ils ont souhaité l'un à l'autre une bonne fin de la journée et en sortant de la salle docteur Lacteur réfléchissait au fait que ce pauvre Hubert lui plaisait beaucoup et que c'était injuste que tels bons gens sont obligés de vivre dans les établissement de ce genre là, sans aucune possibilité d'être libre alors qu'il y a plein des ceux qui sont requis d'être isolés de la société..Mais c'est la vie..Et l'objectif de lui est de faire le maximum possible pour faciliter la vie de ces malades. Il aimait autant son travail qu'il ne trouvait point étrange de même de se coucher dans la clinique, dans la même salle ou il acceptait les patients. Il était très rarement chez soi..Vrai dire il n'y été jamais depuis qu'il a commencé de travailler à l'hôpital. De fois ses enfants, déjà les adultes qui ont eu ses familles et ses propres vies, venaient lui voir au travail. Et que la fidèle Madeleine venait lui voir chaque soir à 21:15 pour de temps en temps lui donner les médicaments contre les douleurs ou pour mieux dormir. Mais on ne le lui épargne pas. Il se sentait heureux puisqu'il avait ces pauvre qui ont eu besoin de lui.